Humour

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Réponse d'un internaute sur le blog Devys à la proposition du partage du parking du Bd de la Reine entre Versaillais et Conseil Général :

Je vous cite : « Sans oublier les possibilités de mutualisation du parking du boulevard de la Reine qui s'offrirait ainsi une double fréquentation : en journée avec le Conseil Général et en soirée (et week-end) avec les riverains ».

J’ai un petit problème de compréhension concernant votre proposition de mutualisation du parking du boulevard de la Reine. Vous proposez une double fréquentation, en journée avec le Conseil Général et en soirée avec les riverains. Que font les riverains pendant la journée, ils tournent en rond dans Versailles au volant de leurs véhicules finissant de parachever les difficultés de circulation de la ville. 

Cette proposition me rappelle une anecdote : le ministère anglais des transports étudiait, dans un souci d’harmonisation européenne, le passage d’une circulation automobile à droite en lieu et place de la circulation à gauche existante

Comme les anglais sont très pragmatiques, l’étude concluait qu’il fallait d’abord passer par une phase d’essai, et suggérait que le changement de circulation s’appliqua dans un premier temps aux seuls camions !

A quoi sert de construire un parking si les habitants de Versailles ne peuvent l’utiliser que la nuit et le week-end. Est-ce bien raisonnable ?

Ecrit par : Hervé Roger | 02 mars 2008


Publié sur versailles2008.eu le 21 février 2008
Le vilain François
Est-ce réellement une fable ?
Dans un grand et beau Royaume, le monarque usé par 30 ans de mandat souhaite « passer la main ». C'est-à-dire comme au bon vieux temps, choisir son successeur...
Le vivier se trouve dans le 1er cercle de son Conseil, la problématique est simple, quitter sans vraiment partir.
Sa fille est en bonne place sur la liste de l'héritier intronisé.
La princesse Delphine représente les couleurs et la relève de la maison du monarque. L'un des fils s'est fait battre dans la région Nantaise aux dernières législatives, cela ferait mauvais effet s'il arrive le même sort à sa sœur dans la cité royale... l'épilogue serait pathétique.
Cependant les manants doivent, c'est de leur responsabilité, entériner sa décision.
 
Hélas, trois fois hélas !!
 
Notre monarque est aujourd'hui affligé de constater, que le bon peuple n'est pas enthousiasmé par son choix. Donc le vieux lion sort ses griffes et utilise ses réseaux, il fait feu de tout bois pour défendre son dauphin.
Tous les arguments sont bons, mêmes les plus mauvais et les coups sont parfois portés sous la ceinture !
En théorie tous les coups ne sont pas permis, mais en pratique...
Les médias du royaume, en sont témoins et cela est Capital, pour connaître la vérité !
 
En effet rien ne se passe comme prévu. Dans cette campagne le soleil d'Austerlitz devait rayonner de tous ses dards, mais l'astre commence à s'assombrir.
Le vilain François fait une bonne campagne, l'honnête adjoint porté par un nouveau souffle, va de l'avant. L'héritier présomptif est trop présomptueux, car pour conjurer le mauvais sort promet tout à tous.
Mais quelle campagne, les amis !! En effet si la tendance se confirme... Non rien, la conclusion de cette fable, nous la connaîtrons le 16 mars.

 


 

 Un investisseur américain se promène au bord de l'eau dans un petit village côtier mexicain. Un bateau rentre au port, contenant plusieurs thons. L'Américain complimente le pêcheur mexicain sur la qualité de ses poissons et lui demande combien de temps il lui a fallu pour les capturer.
« Pas très longtemps », répond le Mexicain.
« Mais alors, pourquoi n'êtes vous pas resté en mer plus longtemps pour en attraper plus ? » demande le banquier.

Le Mexicain répond que ces quelques poissons suffiront à subvenir aux besoins de sa famille. L'Américain demande alors : « Mais que faites-vous le reste du temps ? »
« Je fais la grasse matinée, je pêche un peu, je joue avec mes enfants, je fais la sieste avec ma femme. Le soir je vais au village voir mes amis. Nous buvons du vin et jouons de la guitare. J'ai une vie bien remplie.»

L'Américain l'interrompt : « J'ai un MBA de l'université de Harvard et je peux vous aider. Vous devriez commencer par pêcher plus longtemps. Avec les bénéfices dégagés, vous pourriez acheter un plus gros bateau. Avec l'argent que vous rapporterait ce bateau, vous pourriez en acheter un deuxième et ainsi de suite jusqu'à ce que vous possédiez une flotte de chalutiers. Au lieu de vendre vos poissons à un intermédiaire, vous pourriez négocier directement avec l'usine, et même ouvrir votre propre usine. Vous pourriez alors quitter votre petit village pour Mexico City, Los Angeles, puis peut être New York, d'où vous dirigeriez toutes vos affaires. »

Le Mexicain demande alors : « Combien de temps cela prendrait-il ? »
--- 15 à 20 ans, répond le banquier.
--- Et après ?
--- Après, c'est là que ça devient intéressant, répond l'Américain en riant. Quand le moment sera venu, vous pourrez introduire votre société en bourse et vous gagnerez des millions.
--- Des millions ? Mais après ?
--- Après, vous pourrez prendre votre retraite, habiter dans un petit village côtier, faire la grasse matinée, jouer avec vos enfants, pêcher un peu, faire la sieste avec votre femme, et passer vos soirées à boire et à jouer de la guitare avec vos amis.
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