Article Versailles + sur les impôts
On trouvera dans une page à part l'article qui vient de paraître dans le numéro de mars 2008 de Versailles plus, et où je m'exprime sur la problématique des impôts à Versailles, ainsi que sur celle de la maîtrise des dépenses de fonctionnement.
Je finirai donc cette partie de campagne par là où pour moi elle a commencé, c'est-à-dire sur un mécontentement vis-à-vis de la politique financière de Versailles, qui m'a d'ailleurs fait lancer ce blog il y a un mois.
Je précise par ailleurs que je me suis adressé au cabinet "Public Evaluation System", évoqué dans l'article et utilisé par Le Point, par un mail du 26 février, dans lequel je m'interroge sur le bien fondé d'un de leurs indicateurs ainsi que sur la baisse incompréhensible des dépenses fixes de fonctionnement reportée par le Point (ainsi d'ailleurs que sur une autre erreur matérielle dans l'article..).
J'ai reçu une réponse de Monsieur Stanislas Boutmy [ s.boutmy@public-evaluation.com ] le 27 février m'indiquant qu'il allait me donner une réponse dans les prochains jours.
A ce jour, le 7 mars au soir, je n'ai pas reçu d'information complémentaire de leur part.
On peut aller sur leur site en cliquant ICI
On y trouvera d'ailleurs, sur la feuille palmares, que Versailles est moyennement cotée, puisque ayant une note entre 10 et 13 (donc "passable"), comme 18 autres grandes villes des Yvelines, alors que 16 villes font mieux dans le département et 4 moins bien.
Ceci dit, comme je ne suis pas forcément d'accord avec leurs critères d'analyse et que je ne comprends pas d'où vient la mention de cette baisse des frais fixes de 12% (erreur du journaliste du Point ou du cabinet ?), je m'abstiendrais d'en tirer des conclusions.
Comme je l'ai dit dans l'artcicle "profession de foi pour les municipales", je note que Bertrand Devys prend aujourd'hui l'engagement de maîtriser les dépenses de fonctionnement (mieux vaut tard que jamais..) mais pas celui de ne pas augmenter les impôts.
Pour être juste avec Bertrand Devys, je pense que le vrai responsable de la politique financière des ces 7 dernières années fût Etienne Pinte, mais je ne peux m'empêcher de donner à Bertrand Devys une responsabilité spécifique dans cette politique, car il en fût le a minima le mécanicien sinon l'inspirateur, et plus de responsabilité en tout cas qu'à ses autres collègues du conseil municipal, qui n'avaient pas vraiment les moyens de contrôler le bien fondé des décisions relatives aux grands équilibres budgétaires.
Enfin, au-delà de la "coquinerie" de l'augmentation surprise des impôts en début de mandat (un grand classique) qu'on a connu en 2002/2003, je suis peut-être plus inquiet de voir que même en fin de mandat la fiscalité n'a pu être maîtrisée, ce qui ne montre pas une grande culture de la maîtrise des frais de fonctionnement de cette gestion municipale.
Je finirai donc cette partie de campagne par là où pour moi elle a commencé, c'est-à-dire sur un mécontentement vis-à-vis de la politique financière de Versailles, qui m'a d'ailleurs fait lancer ce blog il y a un mois.
Je précise par ailleurs que je me suis adressé au cabinet "Public Evaluation System", évoqué dans l'article et utilisé par Le Point, par un mail du 26 février, dans lequel je m'interroge sur le bien fondé d'un de leurs indicateurs ainsi que sur la baisse incompréhensible des dépenses fixes de fonctionnement reportée par le Point (ainsi d'ailleurs que sur une autre erreur matérielle dans l'article..).
J'ai reçu une réponse de Monsieur Stanislas Boutmy [ s.boutmy@public-evaluation.com ] le 27 février m'indiquant qu'il allait me donner une réponse dans les prochains jours.
A ce jour, le 7 mars au soir, je n'ai pas reçu d'information complémentaire de leur part.
On peut aller sur leur site en cliquant ICI
On y trouvera d'ailleurs, sur la feuille palmares, que Versailles est moyennement cotée, puisque ayant une note entre 10 et 13 (donc "passable"), comme 18 autres grandes villes des Yvelines, alors que 16 villes font mieux dans le département et 4 moins bien.
Ceci dit, comme je ne suis pas forcément d'accord avec leurs critères d'analyse et que je ne comprends pas d'où vient la mention de cette baisse des frais fixes de 12% (erreur du journaliste du Point ou du cabinet ?), je m'abstiendrais d'en tirer des conclusions.
Comme je l'ai dit dans l'artcicle "profession de foi pour les municipales", je note que Bertrand Devys prend aujourd'hui l'engagement de maîtriser les dépenses de fonctionnement (mieux vaut tard que jamais..) mais pas celui de ne pas augmenter les impôts.
Pour être juste avec Bertrand Devys, je pense que le vrai responsable de la politique financière des ces 7 dernières années fût Etienne Pinte, mais je ne peux m'empêcher de donner à Bertrand Devys une responsabilité spécifique dans cette politique, car il en fût le a minima le mécanicien sinon l'inspirateur, et plus de responsabilité en tout cas qu'à ses autres collègues du conseil municipal, qui n'avaient pas vraiment les moyens de contrôler le bien fondé des décisions relatives aux grands équilibres budgétaires.
Enfin, au-delà de la "coquinerie" de l'augmentation surprise des impôts en début de mandat (un grand classique) qu'on a connu en 2002/2003, je suis peut-être plus inquiet de voir que même en fin de mandat la fiscalité n'a pu être maîtrisée, ce qui ne montre pas une grande culture de la maîtrise des frais de fonctionnement de cette gestion municipale.
On ne peut en tout cas arguer des performances passées pour prédire un avenir vertueux en terme de maîtrise des dépenses et de la fiscalité.